Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
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Discours de Nicolas Dupont-Aignan prononcé au deuxième Congrès national DLR

22/11/2010 00:16

Discours de Nicolas Dupont-Aignan prononcé au deuxième Congrès national DLR


Retrouvez ci dessous le discours que Nicolas Dupont-Aignan vient de prononcer à l’occasion du deuxième Congrès national DLR.

PARIS, 21 novembre 2010 (AFP) - Le président de Debout la République (DLR), Nicolas Dupont-Aignan, a promis dimanche qu’il serait candidat à la présidentielle de 2012, se présentant comme le défenseur de la "souveraineté" de la France, de la sortie de l’euro et du rétablissement des frontières. Devant près d’un millier de personnes, réunies dans la salle Olympe de Gouges à Paris à l’occasion du 2e congrès de DLR, le député de l’Essonne (ex-UMP) a déchiré depuis l’estrade un faux billet de 10 euros, en promettant de mettre fin à "ce poison", à "cette monnaie d’occupation" qui provoque "vie chère", "délocalisations" et "chômage". Se présentant comme "le candidat de la sortie de l’euro", il a appelé à la prise de deux "bastilles", la Banque centrale européenne (BCE) et l’Organisation mondiale du commerce (OMC), préalables selon lui à la création d’un million d’emplois, sa "priorité" pour la France. Il s’est également engagé à dénoncer, s’il était élu, tous les traités européens, pour une Europe "où la France conduise son destin de grande nation". Nicolas Dupont-Aignan, 49 ans, a aussi insisté sur les frontières nationales, tant au niveau économique, avec l’instauration de droits de douane, que pour le contrôle de l’immigration. Prenant des accents très antimondialistes, il a renvoyé dos à dos l’UMP, qu’il a quittée en 2007, et le PS, deux partis réunis dans l’"UMPS", un terme emprunté au Front national : "tous les gouvernements ont mené la même politique depuis 1983 (...) l’abandon systématique dans tous les domaines de la souveraineté nationale" au profit de l’"idéologie mondialiste", a-t-il lancé. Nicolas Dupont-Aignan, qui s’est exprimé devant un fond de scène aux couleurs de la France, a invoqué plusieurs fois le général de Gaulle, dont il se réclame, mais également Philippe Séguin. Il a aussi cité l’appel de Cochin de Jacques Chirac (1976), qui dénonçait l’UDF, proeuropéenne, comme "le parti de l’étranger". Dans son discours, il s’en est pris aux "mercenaires du système" que seraient les conseillers de Nicolas Sarkozy, Alain Minc et Jacques Attali, ou encore l’éditorialiste politique de RTL Alain Duhamel, appelant à le remplacer par un "Slovaque à 800 euros par mois", qui "fera aussi bien le travail de cire-pompes et de lèche". Un autre journaliste, le rédacteur en chef de Mediapart Edwy Plenel, était l’un des invités du congrès en tant que "personnalité extérieure" au mouvement. "Nous avons en commun (...) d’avoir du respect pour ceux qui savent dire non", a déclaré M. Plenel, en évoquant "le refus d’un pouvoir oligarchique" et "le droit à l’information".

Discours 2eme congrès de DLR (Format PDF)

http://www.debout-la-republique.fr/IMG/pdf/discoursNDACongres.pdf






120ème anniversaire de la naissance du Général De Gaulle

21/11/2010 23:47

120ème anniversaire de la naissance du Général  De Gaulle


Le 22 novembre 1890 naissait celui qui par ses rêves de grandeur, donnera un grand destin à la France : Charles De Gaulle ! 120 ans après, DLR n’oublie pas ! A nous de poursuivre cette certaine idée de la France que le général De Gaulle nous a transmis.

 

Les comités locaux DLR 11ème et 14ème circonscription






Les Etats-Unis cherchent à s’en sortir, mais pas l’Europe

20/11/2010 14:02

Les Etats-Unis cherchent à s’en sortir, mais pas l’Europe


Pendant que l’Europe cherche à tout mettre en place pour honorer les dettes publiques que détiennent les banques et sauver la monnaie unique, les Etats-Unis recourent à des moyens non conventionnels pour se sortir en partie de l’impasse de la dette.
L’intérêt du « Quantitative Easing 2.0 »
Les réactions à la politique de monétisation de la dette publique étasunienne par la Fed ont été mitigées. Certains ont crié au risque d’hyperinflation et d’effondrement du dollar. Mais, ce scénario est extrêmement peu probable. En effet, si la Fed va racheter pour 600 milliards de dollars de bons du Trésor, il faut noter que cela ne représente que 5% de l’ensemble de la dette publique (qui approche les 12 000 milliards) et environ 4% du PIB du pays. La planche à billet reste limitée.
En outre, si la monétisation a un effet inflationniste, cela ne serait pas un mal dans une économie qui subit des pressions déflationnistes. L’inflation est au plus bas, à peine 1%. Pire, malgré l’envolée des déficits et de la dette, l’endettement global de l’économie étasunienne diminue du fait de la réduction de l’endettement des ménages et des entreprises. Du coup, les effets négatifs de la monétisation seront très limités. Mais cela ne règle pas les déséquilibres fondamentaux de l’économie  outre-Atlantique
En revanche, la politique de la Fed sera très utile pour le pays. Ce programme de rachat de Bons du Trésor va permettre de limiter les taux longs étasuniens, qui sont à peine supérieurs à ceux de l’Allemagne. Ainsi, cela va réduire le montant des intérêts payés et contribuer au rééquilibrage budgétaire. Mieux, cela a eu pour effet de faire baisser le dollar, ce qui va améliorer la balance commerciale en pénalisant les importations et en agissant comme une subvention pour les exportations.
Une Europe ballotée par les marchés
A l’opposé du pragmatisme étasunien, l’Europe poursuit une politique totalement irréaliste, dans le seul objectif de sauver l’euro monnaie unique et de protéger les créances des banques. La cure d’austérité drastique imposée aux pays de la périphérie du continent provoque une véritable dépression économique (le PIB de la Grèce et de l’Irlande aura reculé de plus de 10% en seulement trois ans), affaiblissant considérablement la capacité de remboursement de ces pays.
Du coup, les marchés leur imposent des taux longs toujours plus élevés. Pour l’instant, la Grèce s’en sort grâce au fond européen qui leur permet d’emprunter à des taux plus bas que ceux du marché. L’Irlande a des réserves importantes de liquidités qui lui permettent de se passer encore des marchés pendant quelques mois, mais tout le monde sent bien que cette solution n’est pas durable. C’est pourquoi l’Union Européenne et le FMI préparent un plan pour l’Irlande.
Le point positif de cette situation a été de préparer l’opinion publique à la possibilité d’une fin de l’euro monnaie unique, hypothèse évoquée maintenant dans plusieurs pays et qui a poussé le « président » de l’Europe a tiré la sonnette d’alarme. Dans une belle ironie de l’histoire, il est probable que c’est le marché qui fera tomber la monnaie unique, ce même marché dont l’Europe aura paradoxalement assuré la toute-puissance. On ne peut pas nier la réalité…
Si les Etats-Unis mènent une politique insoutenable à long terme, leur choix à court terme est sans doute le bon, pour défendre leurs intérêts. L’Europe, par son dogmatisme néolibéral parvient à mener des politiques qui sont à la fois néfastes à court et à long terme.
Laurent Pinsolle
 





Electricité : la douloureuse du marché européen

19/11/2010 22:08

Electricité : la douloureuse du marché européen


  • Jack Dion – Marianne
20070629_FIG000000128_29083_1 On pensait qu’elle ferait baisser les prix de l’électricité, mais la concurrence imposée par l’Union Européenne risque au contraire de les faire flamber. Grâce à la loi Norme, le gouvernement pourrait contraindre EDF à vendre une partie de sa production d’électricité à ses concurrents. Un deal qui pourrait coûter chez aux consommateurs français.
A en croire la vulgate qui tient lieu de prêt à penser, la concurrence est une invention merveilleuse qui permet de faire baisser les prix. Pourtant, lorsque ce dogme est appliqué dans le domaine de l’électricité, le résultat est inverse. Les prix flambent. Voilà qui mérite une petite explication afin de comprendre une histoire digne du père Ubu.
Mercredi 17 novembre, l’Assemblé nationale devrait entériner la Nouvelle Organisation du Marché de l’Electricité (dite loi Nome). Actuellement, malgré les différentes hausses, EDF produit l’électricité la moins chère d’Europe. Les  opérateurs privés qui se sont lancés sur le marché (comme Poweo, GDF Suez ou Direct Energie) sont incapables de s’aligner sur les prix proposés par l’entreprise publique.  Du coup, certains d’entre eux, notamment Poweo, sont loin d’engranger les résultats financiers escomptés. Ils se lancent donc dans une opération de chantage en bonne et due forme, afin de contraindre EDF à leur accorder des conditions inimaginables pour n’importe quelle autre entreprise.
Dans le cadre de la loi Nome*, le gouvernement entend contraindre EDF à vendre le quart de sa production d’électricité d’origine nucléaire à ses concurrents à un tarif assez favorable pour qu’ils puissent tailler des croupières à l’entreprise publique. Comme l’écrit Le Figaro : « Pour les nouveaux entrants, c’est la « rente » nucléaire de l’opérateur historique qui sera ainsi partagée ».  La belle affaire. Mais pourquoi faut-il qu’EDF offre tout ou partie de sa « rente nucléaire » à ses concurrents ? Toujours dans Le Figaro, Denis Florin, partner énergie au sein du cabinet BearingPoint, répond : « Si aucun opérateur alternatif ne devait survivre, EDF se retrouverait dans la ligne de mire de Bruxelles, accusée de ne faire aucune place à la concurrence ».
Voilà qui en dit long sur l’aveuglement des autorités de Bruxelles et de leurs supporters. En vertu des nouvelles tables de la loi divine, les bons apôtres de la commission de Bruxelles ont décrété qu’il fallait rayer les monopoles publics de la carte. Nul ne sait au nom de quelle logique et de quelle efficacité, mais c’est ainsi. Cela ne se discute pas.
En URSS, il fallait tout Etatiser. Dans l’Europe néolibérale, il faut tout privatiser. Cela s’appelle la « concurrence libre et non faussée ».  Au nom de ces préceptes, le marché de l’électricité a été dérégulé en 2007. Et comme cela ne suffit pas, Bruxelles a sommé la France d’inventer  la loi Nome, afin d’obliger EDF à faire un peu plus de place à ses concurrents.
Evidemment, il faudra bien que quelqu’un paie la note et le manque à gagner pour EDF. Pas de surprise. Ce sera le consommateur. Les experts de la Commission de Régulation de l’énergie (CRE) ont prévu une flambée des prix de l’électricité de 11,4% après le vote de la loi, puis de 3,5% par an, soit jusqu’à 25% d’ici à 2015. D’ailleurs, c’est un principe de base : partout où le marché de l’électricité a été privatisé, les prix ont augmenté.
Un esprit rationnel se demanderait pourquoi il faut absolument chambouler un secteur fonctionnant sinon très bien, du moins pas mal. Or c’est une question taboue. Quiconque ose la poser se fait traiter au mieux de simplisme, au pire de  souverainisme. On ne saura donc jamais pourquoi la loi de la concurrence doit s’appliquer partout, y compris là où elle n’a que des conséquences négatives.





Gouvernement, PS : la chienlit au pouvoir !

19/11/2010 17:17

Gouvernement, PS : la chienlit au pouvoir !


L’action politique est forcément collective. Si elle nécessite un chef et une hiérarchie, elle repose sur une équipe et son efficacité dépend aussi de la discipline qui y règne. Un temps, « on fermait sa gueule ou on démissionnait ». Aujourd’hui, chacun étale ses divergences au grand jour.
Gauche-droite : match nul !
Depuis Nicolas Sarkozy, le terme de « solidarité gouvernementale » a gravement été mis à mal. Si elle a fini par être sanctionnée, Rama Yade a été pendant longtemps la sauvageonne du gouvernement. Nous avons eu d’autres exemples avec le remaniement. Brisant tous les usages, trois ministres ont carrément annoncé leur départ avant l’annonce officielle. Ensuite, nous avons eu droit à une litanie d’anciens déversant leurs états d’âme dans les médias.
Hervé Morin décroche le pompon en cumulant l’annonce de son départ et un épanchement bien peu républicain. En se comportant comme le recalé amer d’une émission de téléréalité, comment espère-t-il avoir la moindre crédibilité pour être candidat à la présidence? Fadela Amara a qualifié François Fillon de « bourgeois de la Sarthe » et a dénoncé « l’inertie et le sectarisme » dont elle a été victime. Jean-Louis Borloo a taclé le premier ministre qui aurait son premier opposant.
Mais le manque de décence n’est pas limité à la droite. Le Parti Socialiste avait réussi depuis la rentrée à afficher une certaine unité. Mais la machine à baffes est repartie de plus belle il y a quelques jours avec la présentation du projet sur « l’égalité réelle ». Même si ce texte est critiquable, il est incroyable que les socialistes soient incapables de laver leur linge sale en famille. Bien sûr, chaque saillie attire les médias, mais elle fait un effet désastreux sur l’image collective du parti.
De l’éthique à l’ego
L’action collective impose une certaine discipline. Il est parfaitement naturel que les membres d’un même parti ne soient pas d’accord sur tout en permanence. Mais les dissensions internes devraient au mieux être consignées à l’intérieur du parti ou, au pire, ne jamais déraper en critiques directes. Les membres du PS comme de l’UMP ne semblent animés que par leurs intérêts et leurs pulsions sans être capables d’envisager l’importance du destin commun qui devrait primer sur leurs petites personnes.
C’est ce que Jean-Pierre Chevènement avait théorisé en affirmant qu’ « un ministre, ça ferme sa gueule, ou ça démissionne ». Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a appliqué sa maxime tout au long de sa vie. Aujourd’hui les ambitieux aux dents longues de l’UMP, du PS ou du Centre pensent tellement à leur nombril qu’ils sont incapables de comprendre qu’ils se font aussi mal à eux-mêmes en critiquant sans cesse d’autres membres de leur parti. Les bienfaits de la discipline individuelle ont été oubliés.
Cette chienlit politicienne a une cause toute simple : l’absence de convictions. En effet, quand on croit en un idéal, on peut accepter de suivre la majorité et jouer le jeu de l’équipe. En cela, les débordements actuels en disent long sur la médiocrité du personnel politique des grands partis.
Laurent Pinsolle
 





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